Cécile est kinésithérapeute depuis 2003, diplômée de l’école de Montpellier. Elle a exercé 15 ans en libéral et fait de l’intérim en réanimation pendant la pandémie. Elle s’est formée à la thérapie manuelle, à la rééducation vestibulaire. En 2008, elle a suivi un DU de rééducation maxillo-faciale à l’Université de Montpellier. En 2011, elle a obtenu un Master en science de l’éducation.
Cécile a été ATER (Attachée Temporaire d’Enseignement et de Recherche) en science de l’éducation à l’Université d’Aix-Marseille et formatrice à l’IFMK de Nice. En 2021, elle a achevé sa thèse à l’université de Nice. Elle est chercheuse au laboratoire Rétines à l’Université Côte d’Azur.
Son parcours universitaire ancré dans les sciences humaines et sociales (science de l’éducation, psychologie sociale, sociologie et anthropologie) la conduit à étudier les sciences de la réadaptation et de la rééducation comme objet ou champ de recherche pour produire des savoirs sur les pratiques de terrains des acteurs. Par exemple, elle étudie les enjeux psychosociaux (relation, représentation et pouvoir) dans les situations de soin de réhabilitation. Ses travaux ont également une portée pour l’épistémologie de la réadaptation, car ils tendent à en révéler les spécificités. Ainsi, elle s’intéresse aux modèles et représentations des soins de kinésithérapie, à l’application de la théorie systémique en santé publique et dans le raisonnement clinique.
De par son profil hybride, j’ai développé une posture réflexive, un pas de côté par rapport à sa pratique, qu’elle a à cœur de transmettre en participant aux développements des savoirs de la masso-kinésithérapie au sein des JFK, car elle a acquis la conviction de son intérêt pour construire des solutions de progrès pour le bien des patients et des kinés.
Diplômé de masso-kinésithérapie en 2013, Romain a tout d’abord travaillé en service de rééducation en gériatrie spécialisé dans la chute de la personne âgée. Passionné par l’enseignement et la recherche, il a continué ses études en parallèle avec un master 2 Vieillissement, Handicap, Mouvement et Adaptation option recherche. Il a ensuite poursuivi en doctorat qu’il a soutenu en 2019. Sa thèse STAPS entre biomécanique et neuroscience du contrôle moteur s’intéresse aux capacités prédictives du système nerveux central au service de l’équilibre.
Responsable pédagogique et enseignant dans différents IFMK et Universités depuis 2014 il enseigne progressivement la gériatrie, les neurosciences de la douleur, les méthodologies de la recherche, le musculosquelettique, la clinimétrie et le raisonnement clinique.
Aujourd’hui il porte un intérêt tout particulier aux transferts entre pratique, raisonnement clinique et méthodologies scientifiques avec pour objectif de faire des ponts entre ces mondes pour promouvoir une démarche clinique raisonnée.
Il est toujours très attaché à la pratique clinique, et a complété sa formation initiale par différentes formations courtes autour de la douleur, du raisonnement clinique, du musculosquelettique et de l’éducation du patient. Il a également obtenu sa certification d’une formation longue reconnue par l’IFOMPT en 2019.
A l’heure actuelle, il partage son temps entre de l’enseignement en formation initiale et continue, la recherche et la clinique au pôle olympique BMX de Saint Quentin en Yveline.
Pour les JFK il souhaiterait apporter son aide pour favoriser l’accès au monde universitaire pour les cliniciens.
Kinésithérapeute depuis 2008, Jean-Philippe partage son activité entre la pratique libérale, l’enseignement et la recherche. Son domaine d'intérêt principal est le traitement des troubles musculo-squelettiques et de la douleur persistante, avec un intérêt particulier pour la lombalgie. Il travaille aussi sur des outils d’ingénierie mécanique et l’intégration des technologies issues des sciences données en pratique. Il a un master de physiothérapie (université de Dundee, Écosse) et un doctorat en bio-ingénierie mécanique (université de Poitiers, France). Il souhaite apporter son expérience dans l’ingénierie et les nouvelles technologies pour ce congrès.
Kinésithérapeute diplômé à l’Université de Liège (Belgique) en 2002, Christophe a défendu sa thèse de Doctorat qui portait sur l’évaluation et la rééducation des patients souffrant de lombalgie chronique en 2008. Après un post-doc à Maastricht (Pays-Bas), il a suivi une formation en thérapie manuelle reconnue par l’IFOMPT. Il est chargé de cours invité à la Faculté des Sciences de la Motricité de l’UCLouvain depuis 2015 et a été nommé Professeur au sein du Département des Sciences de la Motricité de la Faculté de Médecine (ULiège) en 2021. A côté de ses activités pédagogiques et de recherche (H-index de 15), portant notamment sur les douleurs/dysfonctions rachidiennes, la douleur chronique, la thérapie manuelle, le raisonnement clinique, la communication et l’approche EBP, il conserve également une activité clinique au sein du programme multidisciplinaire proposé par la Clinique du Dos du CHUOA.
Il est par ailleurs membre du Comité Editorial des journaux JOSPT et JMMT, le Président de la Société Scientifique Francophone de Kinésithérapie (SSFK) depuis 2 ans et est devenu en 2021 le Président de la Belgian Back Society (BBS).
Ayant participé et ayant d’excellents souvenirs de plusieurs éditions précédentes des JFK, il est ravi d’avoir intégré le comité scientifique et fera de son mieux pour que cette nouvelle édition du congrès incontournable pour les kinésithérapeutes francophones attire encore plus de monde et soit inoubliable pour tous participants.
Masseur- Kinésithérapeute depuis 2001, Bastien a suivi un parcours salarié en rééducation de l’appareil locomoteur et en neurologie. Cadre de Santé depuis 2011, il a managé des équipes de rééducation et enseigné pour les IFMK de Rennes et Laval, actuellement plutôt sur les thématiques de l’innovation en rééducation. Après une formation à la recherche biomédicale, il a suivi un parcours universitaire de recherche sociologie et participé au développement d’une équipe de recherche en rééducation au sein d’un établissement privé, qu’il coordonne depuis 10 ans. Ce LAB assure des missions de recherche en promotion et investigation et une activité de living lab en participant à de nombreux projets de développement de solutions innovantes avec des partenaires industriels- startup et entreprises – ou académiques – laboratoires, universités et instituts de recherche. Ses thématiques de recherche de prédilection sont les technologies en santé et l’innovation en rééducation, et particulièrement la robotique et les réalités virtuelle et augmentée.
Etudier et transmettre sont les deux moteurs de l’activité professionnelle de Matthieu. Passionné par le corps humain et son fonctionnement, il a poursuivi son cursus après l’obtention du diplôme d’État de kinésithérapeute. Après avoir décroché un master de recherche en parallèle de son activité libérale, il réalise actuellement une thèse de doctorat portant sur l’interférence cognitivo-motrice et la double tâche dans la prévention des chutes chez la personne âgée. Pour satisfaire sa soif de transmission, il intervient dans différents IFMK comme enseignant vacataire, essentiellement en méthodologie de recherche.
Kinésithérapeute depuis 2008, en parallèle de son activité de clinicien auprès de patients avec des atteintes neurologiques, Karim a réalisé un Master 1 et 2 à l’Université de Pierre et Marie Curie en 2014 et 2015. En 2020, il a obtenu un doctorat en Physiologie, Physiopathologie Biologie Systémique Médicale à l’Université de Rennes 1. Il a effectué ensuite un stage postdoctoral au sein de l’Institut Universitaire sur la Réadaptation en Déficience Physique de Montréal (IURDPM) rattaché à l’Université de Montréal (Canada). De retour en France depuis septembre 2021, il est impliqué dans la formation en tant que co-responsable des unités d’enseignement à l’Institut Formation Podologie, Ergothérapie, Masseur-kinésithérapie (IFPEK) de Rennes et dans la recherche avec un poste de chercheur au sein du CHU de Rennes. Ses domaines d’intérêts sont les troubles de l’équilibre et la marche des patients avec des atteintes neurologiques, leur compréhension et les moyens de rééducation mis en place. Il souhaite apporter son expérience pour ce congrès marquant pour la profession et mettre en avant le lien entre la recherche et la clinique pour une meilleure pratique.
Durant 10 ans, Ingrid a voyagé en changeant de service et de domaine professionnel, elle est passée par l’ADAPT à Cambrai, l’hôpital à domicile (HAP_HAD) à Paris, soins palliatifs à domicile sur Bruxelles et ensuite est rentrée à ULB Erasme Bruxelles, dans le service de gériatrie et pneumologie-oncologie, pour partir après au CHU Tivoli à La Louvière dans le service de pneumologie où elle a créé la revalidation pulmonaire. Elle exerce comme kinésithérapeute Bobath depuis 24 ans en libéral.
Depuis 12 ans, Ingrid enseigne en tant que maitre assistante au sein de HEPH-Condorcet à Charleroi en Belgique dans le domaine de la pneumologie et revalidation pneumo-cardio. En 2020, elle a relevé un nouveau défi en devenant Directrice adjointe à HEPH-Condorcet pour le département des Sciences de la Motricité (kinésithérapie, ergothérapie et la podologie) à Charleroi. Elle est aussi coordinatrice des stages pour la section kinésithérapie ainsi que pour les stages à l’étranger pour différentes sections présentes à Charleroi.
Guillaume Le Sant est masseur-kinésithérapeute et titulaire d’un doctorat de sciences (STAPS, mention : biomécanique) de l’Université de Nantes, ayant porté sur l’évaluation des propriétés des muscles de la cheville (et la variabilité intra- et inter-individuelle de celles-ci) après un AVC. Il est également certifié en neuro-rééducation. Enseignant-chercheur à Nantes Université (Laboratoire Motricité, Interactions, Performance, UR 4334) et à l’IFM3R (IFMK Nantes) depuis 2019, il assure en particulier la coordination entre IFM3R/Université.
Son activité, centrée en inter-professionnalité, se partage entre : l’enseignement en formation initiale et continue dans différentes filières (médecine, STAPS, kinésithérapie…) ; et la recherche en sciences de la rééducation et réadaptation à Nantes Université et au CHU de Nantes (MPR). Lauréat en 2021 de l’Appel à Projet de la Société Française de Physiothérapie (Catégorie Sénior CSP), ses travaux concourent à optimiser les propositions thérapeutiques impliquant les rééducateurs dans différents contextes (neurologie, traumatologie) via des interventions innovantes et/ou proposées de façon précoce dans le parcours de soins des patients.
Il est par ailleurs depuis 2021 deputy editor de l’European Rehabilitation Journal et a récemment participé à l’élaboration des recommandations de bonne pratiques sur le thème de la « Rééducation d'un AVC de l'adulte » pour la Haute Autorité de Santé.
Kinésithérapeute depuis 2016 ayant une activité libérale en Ardèche, Marianne a poursuivi un master en Ingénierie de la Rééducation, du Handicap et de la Performance Motrice obtenu en 2017 dont le travail portait sur les pratiques avancées en physiothérapie au Canada. Depuis cette aventure, son intérêt pour le développement des connaissances scientifiques en physiothérapie est resté vif, notamment via la poursuite de façon intermittente d’une activité comme assistante de recherche. Membre du CS de l’édition 2019 « Évaluer pour mieux traiter », le congrès des JFK est un événement essentiel à la diffusion des connaissances des recherches d’experts locaux et internationaux, et son accessibilité destinée à tous MK lui paraît fondamentale pour le développement de la profession.
Parallèlement, Marianne aime passer son temps libre à développer ses compétences naturalistes (végétales, animales et fongiques), pratiquer la batterie et élever des blobs pour une expérience de science participative du CNRS.
Kinésithérapeute depuis 2009, Adrien a orienté son emploi du temps principalement sur de la formation initiale et continue, ainsi que l’écriture et la coordination d’ouvrages sur les différents champs de pratique professionnelle. Membre du Comité Scientifique de l’édition 2017, puis Co-Pilote de ce comité en 2019, il réitère sa participation en tant que membre du comité scientifique pour l’année 2023. Son envie est de montrer que l’intégration clinique des résultats de la recherche est importante et accessible à tous.
Diplômé en kinésithérapie en 2005, en ostéopathie en 2010, Thomas a repris ses études à l’université, sanctionnées par un master STAPS - APA en 2013 puis un doctorat STAPS-cognition du mouvement en 2017 s’intéressant à l’”Application clinique de l’imagerie motrice en rééducation”.
Il est membre du comité scientifique (CS) du conseil national de l’ordre depuis 2018 et du CS des JFK depuis 2015. Il est impliqué dans la formation comme enseignant vacataire et conseiller scientifique de différents instituts de formation en rééducation et réadaptation. Il a aussi été parmi les premiers kinésithérapeutes qualifiés aux fonctions de maître de conférence des universités en section 91, sciences de la rééducation et réadaptation.
Il a travaillé comme kinésithérapeute libéral durant cinq ans. Il a ensuite rejoint le monde de la kinésithérapie salariée durant 5 ans au CH de Challans (Vendée), puis au CHD-Vendée durant cinq ans également comme clinicien - chercheur (kinésithérapeute en CSG, et comme ingénieur de recherche clinique à l’unité de recherche clinique).
Il est depuis 1er septembre 2022, le Coordonnateur de la Recherche Paramédicale du CHU de Nantes.
Après un diplôme de diététicien obtenu en 2004, Jérémy a enchaîné par le DE de kinésithérapeute obtenu en 2008 à l’AP-HP, puis le BE2 d’Athlétisme.
Après une dizaine d’années à travailler conjointement autour de l’apprentissage moteur des enfants et l’apprentissage technique d’athlètes de niveau national, il s’est intéressé à la recherche et à l’enseignement. Il a alors abordé ses différentes questions de recherche sous l’angle des singularités (chaque enfant prématuré ou athlète évolue différemment dans un environnement complexe et irréductiblement unique).
Cela l’a amené à reprendre des études pour apprendre les méthodes qualitatives. Il a alors poursuivi dans le domaine jusqu’au doctorat en science politique, qu’il achève en décembre 2022 à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon (Laboratoire TRIANGLE, action, discours, pensée politique et économique).
Il travaille actuellement comme Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche, au département STAPS de l’Université de Nîmes en 2021-2022 (Laboratoire CHROME, risques chroniques émergents) puis au département SHS de la faculté de médecine de Montpellier-Nîmes en 2022-2023 (Laboratoire CEPEL, Centre d’Etudes Politiques et Sociales : environnement, Santé, Territoires).
Alexandre est masseur-kinésithérapeute depuis 2001 et docteur en Physiologie et Biologie de la motricité de l’Université de Lyon-UJM (ED SIS-488) ayant pour thème la prévention des blessures après chirurgie du ligament croisé antérieur. Il est également certifié en Kinésithérapie du sport (CECKS - SFMKS 2010). Il s’intéresse tout particulièrement à la prévention des blessures lors de la pratique d’activités sportives et possède une forte expérience de la pratique de la kinésithérapie dans le milieu sportif, tout particulièrement le football.
Il est également membre du conseil d’administration de la Société Française des Masseurs-Kinésithérapeutes du Sport et du Collège de la Masso-Kinésithérapie et au Collège des Masseurs-Kinésithérapeutes (représentant les MK au CNP).
Il enseigne à l’Institut de Formation en Masso-Kinésithérapie de Saint Etienne depuis 2007 principalement sur les thèmes de « la kinésithérapie et le sport ». Il fait partie depuis 2020 de l’équipe pédagogique de l’IFMK et est responsable des unités d’enseignements autour de la méthodologie de la recherche (UE8, UE27 et UE28). Il enseigne également à l’Université Jean-Monnet comme vacataire pour la Faculté de Médecine et la Faculté des Sciences et Techniques.
Enfin, il enseigne en formation continue en France et en Belgique autour de la prise en charge et la reprise du sport après rupture du ligament croisé antérieur.
Alexandre est l’auteur d’une dizaine d’articles donc certains dans les meilleures revues de rééducation et de médecine du sport (BJSM, APRM et IJSM), et sa recherche vise à optimiser la rééducation et le retour au sport après traumatisme au niveau de l’articulation du genou et plus globalement du membre inférieur.
Céleste Rousseau est kinésithérapeute de formation initiale, spécialisée dans la prise en charge des pathologies des musicien.ne.s. En parallèle de ses premières années de pratique clinique (dont un an à la Clinique du Musicien à Paris), elle a entamé un cursus universitaire en Master 1 d’Ergonomie au CNAM puis en Master 2 STAPS à Pairs Saclay pour ensuite débuter un doctorat à la Liverpool John Moores University, qu’elle est sur le point de soutenir, au sujet de la prévention des TMS des musiciens d’orchestre, en partenariat avec le Royal Liverpool Philharmonic Orchestra.
Elle est également intervenante en formation initiale dans divers IFMK en méthodologie de la recherche (qualitative, particulièrement), rééducation du musicien et direction de mémoire.
Depuis 2020, Céleste a légèrement bifurqué dans son cursus universitaire puisqu’elle a débuté un Master 2 de philosophie, mention « Soin, éthique et santé » à l’Université Bordeaux Montaigne. Ce nouveau prisme lui permet de prendre du recul à la fois sur la construction du savoir scientifique en kinésithérapie et sur sa propre pratique, à la fois clinique et de recherche.
Benoit STEENSTRUP est kinésithérapeute libéral, spécialisé en santé lombo-pelvienne et en kiné du sport (hand ball/course à pied), diplômé en thérapie manuelle (MTM). Parallèlement, il exerce une activité hospitalière au CHU de Rouen depuis 1993, dans le secteur universitaire du service d'urologie. Il est consultant du centre expert de pelvi-périnéologie du CHU de Rouen. Actuellement membre de la SFP, de l’IUGA, de l’AFREPP, il est investi au sein des conseils d'administration de la Société Internationale Francophone d’Uro-Dynamique (SIFUD PP) et de l'Institut Régional de Médecine du Sport et de la Santé (IRMS2).
Clinicien-chercheur formé "Smarterehab" et "PW Hodges" en contrôle moteur, il enseigne les disciplines de lombalgie, de santé pelvienne et des techniques cognitivo-comportementales depuis une quinzaine d'années en IFMK, en DESF et en formation continue. Il est directeur de mémoire pour les IFMK, DESF, DU et thèse de médecine. Il a co-organisé la conférence de consensus de la lombalgie chronique à Rabat, en 2015. Il est titulaire d'un DIU d'investigateur en recherche clinique et est l'investigateur principal de 2 PHRIP et d'un GIRCI au sein de la maison de la recherche clinique du CHU de Rouen. En 2020-21, il a contribué à la rédaction de recommandations de bonnes pratiques pour l'HAS. Auteur d'une 20e de publications depuis 2012, il est relecteur Elsevier et Springer (Indice H4-Citation 46).
Antoine est un physiothérapeute spécialisé dans la prise en charge des troubles musculosquelettiques. Il fût clinicien pendant 10 années, axant sa pratique sur l’autonomie du patient et la prise en charge multidisciplinaire. Après un master en STAPS sur les nouvelles technologies pour l’évaluation des instabilités chez les sportifs ou personnes âgées, il a débuté en 2019 un cursus de doctorat en sciences à l’Université de Laval au sein du centre de recherche le Cirris. Ses recherches sont axées sur la validation d’outils de mesure des contraintes physiques, la fatigue musculaire ainsi que les rétroactions associées dans le but d’aider au management des troubles musculosquelettiques liés au travail.
Kinésithérapeute depuis 2016, Raphaël réalise actuellement sa thèse au sein de l’école de réadaptation de l’Université de Montréal. Après cinq ans de pratique clinique en France axée sur les prises en charge musculosquelettiques, il a décidé de s’impliquer davantage dans la recherche en physiothérapie. Ses recherches ont pour but de développer et de valider un examen clinique à distance (téléconsultation) pour des patients présentant des douleurs à l’épaule. Il participe au sein de son laboratoire à des projets visant à développer les pratiques avancées en physiothérapie. Il enseigne également en tant qu’enseignant vacataire dans plusieurs IFMK en France. Il a choisi de prolonger son investissement pour le développement de la physiothérapie en France à travers son engagement au sein de la SFP et des JFK.
